Amour des vieilles choses

Quand il est question d’automobile de collection, il faut préciser que c’est l’âge du modèle qui compte et non pas de la voiture elle-même. Une automobile de collection est aussi appelée automobile ancienne. La Fédération internationale des véhicules anciens place l’âge limite d’une automobile de collection à 30 au lieu de 25 en 2008. La collection automobile réside surtout dans la conservation pour l’intérêt historique et patrimonial de l’automobile. Dans certains cas, une voiture ancienne est également conservée pour son esthétique. Un collectionneur conserve chaque automobile de collection comme des pièces dignes d’être exposées dans le plus grand musée plutôt que pour un usage en transport. Chaque typologie de véhicule possède sa propre appellation en fonction de sa période d’apparition. Il y a par exemple les « tacots » ou les « vintages », des voitures apparues avant 1920 et certaines d’avant 1960 sont appelées « thoroughbred ».

Juridiquement parlant, comment c’est ?

Généralement, il existe des réglementations par pays qui vise à conférer un statut particulier à toutes les voitures de collection. À titre d’exemple, dans la plupart des pays, le statut particulier est assortiment de particularités d’immatriculation. C’est le cas en Belgique, en Canada, en France et en Suisse. Dans le même cadre, les agences d’assurances automobiles proposent souvent à leurs clients collectionneurs des contrats spécifiques pour leurs voitures de collection. Les besoins couverts par ces assurances, voire son éligibilité, varient en fonction de l’âge de chaque automobile de collection. L’assureur peut exiger à l’assuré qu’il possède un autre véhicule à usage quotidien afin d’assurer lui-même ses arrières.

Le Code de la route et les règles de stationnement

Le Code de la route définit les règles de circulation routière, y compris les règles de stationnement. Il est important de se familiariser avec le Code de la route pour connaître les différentes infractions liées au stationnement et éviter de les commettre.
Le Code de la route est accessible en ligne et peut être consulté gratuitement. Il est également possible de s’inscrire à des formations en ligne, comme celle-ci https://www.stych.fr/code-de-la-route, pour apprendre les règles de circulation routière. C’est une étape obligatoire pour réussir l’examen théorique du permis b.

Les types de stationnements interdits

Il existe plusieurs catégories d’infractions qui concernent principalement trois types de stationnements :
Le stationnement abusif,
Le stationnement dangereux,
Le stationnement gênant.

Le stationnement abusif

Ce type d’infraction est caractérisé par un stationnement excessivement long, dépassant la durée autorisée. Il concerne notamment les zones réglementées où le stationnement est payant ou limité dans le temps (ex : zone bleue). Le stationnement abusif est passible d’une contravention de première classe et d’un FPS (Forfait Post-Stationnement).

Le stationnement dangereux

Un stationnement est considéré comme dangereux lorsqu’il met en danger la sécurité des autres usagers de la route, notamment lorsque celui-ci se fait :
Sur une chaussée où la visibilité est réduite (virage, sommet de côte…),
A proximité d’un feu tricolore ou d’un panneau de signalisation,
Sur un trottoir, une piste cyclable ou une voie réservée aux véhicules spécifiques (bus, taxis…),
En double file.
Le stationnement dangereux est passible d’une contravention de quatrième classe. Cette infraction peut également entraîner la mise en fourrière du véhicule.

Le stationnement gênant

Un véhicule stationné gêne le passage des autres usagers lorsqu’il empêche :
– Leur déplacement sur les voies publiques,
– L’accès à leur propriété privée,
– L’accès aux services de secours (pompiers, police…),
– Le chargement et déchargement de marchandises dans des zones réservées à cet effet.
Le stationnement gênant est sanctionné par une contravention de deuxième ou troisième classe, selon les cas. Comme pour le stationnement dangereux, cette infraction peut aussi entraîner la mise en fourrière du véhicule.

Les sanctions liées au stationnement

Les forces de l’ordre sont habilitées à verbaliser les conducteurs qui ne respectent pas les règles de stationnement. Les principales sanctions sont :
– Le montant du FPS (Forfait de post-stationnement,
– L’immobilisation du véhicule (pose de sabot),
– La mise en fourrière,
– La suspension du permis de conduire, en cas de récidive.
Ces sanctions peuvent être contestées par une démarche encadrée, notamment via le recours administratif préalable obligatoire (RAPO). Il convient cependant de souligner que la contestation du FPS doit être motivée et appuyée par des preuves.

Les dispositifs d’aide au paiement des amendes routières

Afin de permettre aux usagers de faire face au coût des infractions liées au stationnement, le législateur a prévu des dispositifs d’aide au paiement. Ces dispositifs sont accessibles aux personnes qui rencontrent des difficultés financières.
· Le paiement fractionné des amendes routières permet de régler ses contraventions en plusieurs échéances.
· La consignation du montant de l’amende consiste à bloquer la somme due sur un compte auprès de la Trésorerie Principale sur présentation d’une garantie suffisante (ex : caution). Le conducteur peut ensuite procéder au règlement de la totalité de l’amende après avoir reçu l’accord de la juridiction compétente.
· La réduction de 50 % du montant de l’amende pour les personnes qui règlent leur contravention dans les 45 jours.
· Le paiement en chèques-services…
Les infractions liées au stationnement peuvent avoir des conséquences importantes, tant pour le conducteur que pour les autres usagers de la route. Il est donc important de connaître les règles de stationnement et de s’y conformer pour éviter les sanctions.
Pour s’entraîner à respecter les règles de stationnement, il est possible de suivre une formation en ligne ou de se référer au Code de la route. Il est également important de rester vigilant sur la route et de respecter les panneaux de signalisation.

L’improvisation est votre ennemi

L’improvisation n’a pas sa place dans la conduite, surtout s’il s’agit d’un camion. Assurez-vous d’avoir tous les équipements indispensables pour faire face aux imprévus de la route. Vous devrez avoir un sac de sable et une pelle qui vous seront utiles sur les routes non déblayées. Vous aurez également besoin d’un dégivrant ou d’un grattoir pour dégivrer le parebrise et les fenêtres. Prévoyez également un gilet jaune pour avertir les autres automobilistes de votre présence en cas de panne au milieu de la nuit. N’oubliez pas vos câbles de démarrage. Ils vous seront utiles en cas de panne. Vérifiez le niveau de carburant dans le réservoir avant de prendre le volant.

Passez le camion en revue avant de rouler

Pour limiter les accidents en hiver, vous devez vérifier minutieusement l’engin avant de vous mettre en route. Les pneus sont les premiers éléments à vérifier. Ils doivent être en excellent état et avoir une bonne adhérence. Inspectez également la batterie du camion. La batterie se vide rapidement avec le froid. Assurez-vous alors qu’elle est bien chargée avant de mettre le contact. Vérifiez également les essuie-glace, le niveau des liquides, les feux de signalisations ainsi que le pot d’échappement.

Informez-vous sur la météo

Vous pourrez anticiper votre conduite si vous connaissez le temps qu’il fait. Vous pourrez également vous équiper en conséquence. Équipez-vous donc d’un GPS et d’une radio pour être au courant des possibles changements climatiques.

Comportez-vous bien sur la route

Les routes peuvent être verglacées en hiver. Pour éviter les accidents, pensez à garder une distance de sécurité entre vous et le véhicule devant vous. Quand l’asphalte est mouillé, vous devez multiplier par deux votre distance de freinage. Celle-ci sera d’autant plus sur une route verglacée. Ces informations sont cruciales pour limiter les accidents de la route. Limitez les freinages et les accélérations brusques pour avoir le contrôle total du véhicule. Gardez toujours vos phares allumés de jour comme de nuit qu’il neige, qu’il vente ou qu’il pleuve. Vous devez avoir une vision parfaite et dégagée de la route, quelles que soient les conditions météorologiques. Gardez vos deux mains sur volant pour avoir un meilleur contrôle du véhicule. Il est préférable de limiter au maximum la vitesse du véhicule.

La gyroroue : une révolution dans la mobilité électrique

Le mot « révolution » vous a de suite enthousiasmé. Rendez-vous sur EnergiePlanete, si vous comptez acheter une gyroroue. Cette dernière est un véhicule électrique composé d’une seule roue équipée de capteurs et d’un système de stabilisation gyroscopique. Une batterie lithium-ion rechargeable l’alimente. Elle roule sur de courtes distances, à une vitesse allant généralement de 20 à 30 km/h. Le conducteur se tient debout sur des repose-pieds de chaque côté de la roue et utilise son corps pour contrôler la direction et la vitesse de la gyroroue.

Un design novateur pour une mobilité urbaine pratique

La gyroroue se distingue par son design novateur et compact qui en fait un choix idéal pour la mobilité urbaine. Elle est légère et facile à manœuvrer, ce qui permet aux conducteurs de se déplacer aisément dans les rues étroites et encombrées des centres-villes. De plus, sa petite taille permet de se faufiler dans les embouteillages et de trouver facilement une place de stationnement, ce qui est un avantage considérable dans les zones urbaines où l’espace est limité.

Une technologie de pointe pour une expérience de conduite unique

La gyroroue est équipée d’une technologie de pointe qui lui permet de fournir une expérience de conduite authentique. Les capteurs intégrés dans la roue détectent les mouvements du corps du conducteur. Ils ajustent la vitesse et la direction en conséquence. Cela permet au pilote de contrôler la gyroroue en s’inclinant simplement. Une fois que l’utilisateur s’est habitué à l’équilibre, la conduite devient intuitive et naturelle.

Un moyen de transport écologique et économique

La gyroroue constitue un moyen de transport écologique et économique. En raison de sa batterie rechargeable, elle n’engendre pas d’émissions polluantes. Ce véhicule contribue ainsi à la réduction de la pollution de l’air dans les zones urbaines. De plus, elle a un coût d’exploitation relativement bas comparé à d’autres véhicules électriques ou à essence, car elle nécessite peu d’entretien et la recharge de sa batterie est économique. C’est donc une alternative pratique aux transports en commun et aux voitures.

Les deux roues pas si clean que cela

Dans ce monde où on a commencé à se pencher sur l’urgence de la protection de l’environnement, on a d’abord dénoncé les effets néfastes des automobiles par leur consommation d’énergie non renouvelables et leur émission de gaz polluant. Mais grâce aux louanges faites des véhicules non motorisés ou semi-motorisés tels que le vélo ou les vélos électriques, qui s’adaptent très bien aux transitions énergétiques, on a commencé à discuter des impacts écologiques des motos et des scooters et on s’est rendu compte qu’ils rejettent environ quinze fois plus de monoxyde de carbone par litre de carburant utilisé que les voitures.

Les scooters et les motos se remettent sur la bonne voie

Les constructeurs se sont rendu compte des remarques négatives faites sur les deux roues motorisées. Et vois en la transition énergétique, un point important à réaliser tant pour le secteur commercial que pour la durabilité de leurs activités. Bien qu’ils n’aient pas tous directement pris le chemin des énergies renouvelables, bon nombre d’entre eux ont apporté des innovations dans leurs créations afin de participer à la grande ruée vers le développement durable. Les véhicules électriques ont été les premiers à être créés et l’utilisation de l’électricité est la démarche la plus courante pour rendre les véhicules plus écologiques. Presque accessible partout dans le monde, elle est aussi déjà produite conformément au respect de l’environnement. D’autres modèles fonctionnent grâce à des essences bio obtenues à partir de plantes et d’autres encore envisagent d’utiliser de l’hydrogène. Les deux roues se marient bien avec ces changements énergétiques car ils sont plus légers. Bien que plus chers que les motos et scooters classiques, le prix des modèles écologiques se voit baisser petit à petit. L’existence des points écolos attire aussi énormément d’adeptes. Se déplacer rapidement et encore plus respectueusement de la nature, c’est possible !

Les règles à respecter pour conduire une moto électrique

Pour une moto électrique d’une puissance inférieure ou égale à 4 000 watts, dans la catégorie des 50 cc, toutes marques, dont celles en vente chez purerider, quelles règles s’appliquent ? Vous devez être titulaire d’un permis AM au minimum, celui qu’on appelle aussi BSR pour Brevet de sécurité routière. L’âge minimum requis est 14 ans et vous devez avoir suivi des cours théoriques. Il s’agit de cours sur la sécurité routière type ASSR 2. Une formation AM est aussi exigée pour rouler en 50 cc. Cependant, si vous avez un permis type B, A, A1 ou A2, vous êtes libre de circuler avec une moto électrique. Il y a une autre condition qui vous autorise à conduire ce type de véhicule. Par ailleurs, vous pouvez trouver sur https://www.trendybelle.fr/les-regles-de-securite-pour-un-passager-a-moto/ les règles de sécurité pour un passager à moto.
Si votre date de naissance est avant le 31 décembre 1987, vous êtes exempté de la formation et du permis. Maintenant, si c’est un deux-roues avec une puissance entre 4 000 et 11 000 watts, quelles sont les règles à respecter ? C’est une moto électrique de la catégorie 125 cc, donc 2 permis sont possibles. Il y a d’abord le permis A1, accessible dès l’âge de 16 ans. Pour l’obtenir, vous devez avoir suivi une formation et réussi un examen théorique et pratique. Puis il y a le permis B mais vous devez l’avoir depuis au minimum 2 ans. Vous êtes également tenu de suivre une formation dédiée d’une durée de 7 h, visant à vous familiariser avec la moto électrique.

Quelques réglementations à connaître autour de la moto électrique

Comme tous les véhicules circulant sur les voies publiques en France, une moto électrique doit être immatriculée. Si celle que vous voulez acheter est déjà homologuée, vous aurez le certificat d’homologation lors de l’achat. Une fois que vous avez ce document en main, effectuez les démarches pour demander votre carte grise. Lorsque vous recevez votre numéro d’immatriculation, hâtez-vous de fixer une plaque sur votre moto. Vous devez aussi souscrire une assurance pour votre moto, peu importe sa puissance. Le minima requis est l’assurance au tiers qui vous donne une couverture en cas d’accident responsable. Si vous souhaitez une couverture plus étendue, choisissez l’assurance tous risques.
Pour les autres garanties, voyez avec votre assureur ce dont vous avez besoin. Pour rappel, une assurance moto électrique est largement moins chère que l’assurance moto thermique. Côté sécurité, quelles sont les règles en vigueur ? Les mêmes que pour toutes les autres motos, notamment le port du casque et le port de gants. Avant de rouler, assurez-vous que vos freins fonctionnent bien, de même que vos feux. Est-ce que vous avez un rétroviseur en bon état, au moins un, de préférence celui du gauche ? Vérifiez que vos catadioptres sont bien là et que vos pneus sont en excellent état, autrement remplacez-les ou réparez-les d’abord.

Poser les bonnes questions

Avant de faire votre choix, posez-vous d’abord les bonnes questions. Combien comptez-vous dépenser dans cet achat ? Comment allez-vous utiliser la voiture ? Vous êtes à la recherche de confort ou de style ? De combien d’espace vous avez besoin ? Quelles sont les fonctionnalités qui vous plaisent particulièrement ? Votre préférence va plutôt vers le Diesel, électrique, essence ou hybride ?

Voiture neuve ou occasion

Tout va dépendre de votre budget, toutefois, qui dit voiture occasion ne sous-entend pas une mauvaise qualité. En achetant du neuf, vous bénéficierez de la tranquillité d’esprit de la garantie du fabricant, qui devrait durer au moins trois ans. Une voiture d’occasion quant à elle ne subira pas le coup de la dépréciation. Un bon endroit pour commencer votre chasse aux voitures d’occasion est sur un parvis d’occasion «approuvé», où les voitures sont accompagnées d’une sauvegarde supplémentaire des fabricants.

Les points essentiels

Si vous avez de jeunes enfants, un SUV est une bonne option, car la hauteur de caisse surélevée facilite amplement l’installation de leurs sièges dans la voiture. Cherchez à connaitre la capacité de charge pour ne pas avoir de mauvaises surprises. Recherchez toujours les voitures qui ont des sièges arrière faciles à replier et qui reposent à plat lorsqu’ils sont tombés. Si vous avez besoin de plus de fonctionnalités, optez pour un niveau de finition qui les inclut tous ensemble plutôt que de les ajouter individuellement.

BMW prend un nouveau visage avec IX

SI ce n’est le style extérieur aussi chic et glamour que les anciennes versions de la marque, et le logo en bleu et blanc qui trône sur le devant du véhicule, BMW IX semble réellement vouloir se démarquer des autres SAV de la même enseigne. Selon l’annonce faite par la firme, ce serait le nouveau visage qu’adoptera BMW sur le marché : plus performant, plus pratique, plus confortable, mais surtout plus respectueux de l’environnement.
À vrai dire, ce n’est pas la première fois que BMW se lance dans la production de voiture électrique. Mais on l’a toujours connu avec des modèles hybrides. Pour cette fois, il s’agit d’un SAV 100% électrique avec en prime une nouvelle boite à outils modulaire et évolutive. Le tout sera accompagné d’une bonne tenue de route et 600 km d’autonomie sans recharge. De quoi en faire rougir Audi son principal concurrent.

IX : une voiture 100% électrique pour 86 250 euros

Disponible déjà en précommande auprès de certains concessionnaires français, IX sera livré vers la fin de l’année 2021. Il est d’ores et déjà possible de personnaliser votre modèle en choisissant les finitions, les couleurs, et l’intérieur en quelques clics. Tout est fait pour vous mettre à l’aise. De quoi vous inciter réellement à faire, à votre tour, un geste pour l’environnement.
La version basique de l’IX sera proposée à 86 250 euros. Mais certaines personnalisions et finissions seront payantes. Ce n’est pourtant pas si cher payer afin de profiter de toutes les nouvelles technologies qu’elle embarque : radar, caméras, aide à la conduite, et bien d’autres encore.
4. Finance

Déclaration de cession à faire en ligne

La déclaration de cession est exigée par la loi. Autrefois, l’on devait l’effectuer à la préfecture. Désormais, cette déclaration de cession doit être effectuée en ligne. C’est la seule option valable pour tous les usagers. Vous ne devez plus vous rendre à la préfecture pour ce faire, ce qui est en somme bien avantageux à bien y réfléchir. Vous n’avez plus à vous déplacer et plus de temps perdu à faire la queue non plus une fois sur place. Vous pouvez entreprendre la totalité des démarches à partir de chez vous ou de tout autre endroit où vous avez accès à Internet. Suite à la mise en place du Plan Préfecture Nouvelle Génération ou PPNG, toute formalité comme l’immatriculation ou la déclaration de cession doivent se faire en ligne.

Le site officiel par lequel vous devez passer est celui de l’Agence Nationale des Titres Sécurisés ou ANTS. Commencez par vous identifier via votre compte France Connect, puis remplissez le formulaire dédié. Vous obtiendrez ensuite un code de cession que vous devez transmettre au plus vite à l’acquéreur. Cependant, il existe d’autres sites de spécialistes agréés par le ministère de tutelle. Donc, vous pouvez vous adresser à l’un de ces sites en toute sérénité et en toute sécurité. Si vous passez par un tel prestataire, vous n’avez pas besoin de code, car ce professionnel se charge de tout. Il vous suffit de lui envoyer l’ensemble du dossier.

Les pièces justificatives nécessaires pour une déclaration de cession

Pour effectuer une déclaration de cession sur declaration-cession.fr, quelques pièces justificatives sont à présenter. En premier, il faut le certificat d’immatriculation du véhicule vendu ou cédé, certificat barré et portant la mention « Vendu le (jour, mois, année) » ou « Cédé le (jour, mois, année). Si vous cédez votre véhicule pour destruction, cette précision doit aussi être apportée sur le certificat d’immatriculation en inscrivant « pour destruction » dessus. En second lieu, vous devez présenter votre pièce d’identité qui peut être votre carte d’identité ou votre passeport. Puis, si votre véhicule a plus de 4 ans, vous devez fournir le procès-verbal du contrôle technique de moins de 6 mois et en cas de contre-visite, de moins de deux mois. C’est avec ces documents que vous pouvez faire la déclaration de cession.

La déclaration de cession est obligatoire parce que pour l’administration, c’est ce qui officialise la vente de votre véhicule et pour le nouveau propriétaire, c’est ce qui lui permet d’immatriculer le véhicule à son nom. Mais c’est aussi bénéfique pour vous d’entreprendre ces démarches parce qu’une fois que le véhicule est au nom de l’acheteur, vous êtes libéré de toute responsabilité par rapport au véhicule. Si jamais un incident ou un accident survenait sur le véhicule, vous ne serez plus inquiété puisque votre nom n’apparaît plus nulle part. Quelle que soit l’infraction commise par le nouveau propriétaire, cela ne vous concernera plus. Vous ne recevrez pas d’amendes pour d’éventuels problèmes de stationnement ou d’excès de vitesse.

Effectuez la déclaration de cession

Que vous le vouliez ou non, que vous ayez le temps pour cela ou non, vous devez absolument chercher et trouver un moyen d’effectuer la déclaration de cession si vous vendez ou cédez votre véhicule. C’est une obligation imposée par la loi et personne n’en est exempté. Bien sûr, les professionnels agréés vous font gagner du temps parce que vous n’avez qu’à leur envoyer les documents et ils se chargent de tout. Bref, vous n’avez aucune démarche fastidieuse à faire. Sachez que cette procédure est payante. Ceci étant, le coût n’est pas excessif. Renseignez-vous sur les tarifs appliqués par les différents prestataires. Comparez et voyez lequel répond au mieux à vos besoins. Pour information, une déclaration de cession est établie en deux exemplaires, un pour vous en tant que vendeur et l’autre pour l’acheteur afin qu’il puisse compléter son dossier de demande de nouvelle carte grise.

Le fait que la déclaration de cession soit faite en ligne vous facilite la vie. Donc, prenez le temps de l’effectuer rapidement. Il faut vous rappeler qu’il y a un délai que vous ne pouvez pas dépasser pour la déclaration de cession. La loi vous donne 15 jours et pas davantage, alors, il vaut mieux vous y atteler au plus vite, cela protégera les parties concernées, c’est-à-dire vous et l’acquéreur.

Aéroport Barajas de Madrid

Cet aéroport de Madrid possède quatre terminaux. Il se distingue par ses grands piliers très colorés et sa toiture en bambou qui laisse passer la lumière naturelle du soleil refléter l’aéroport. Vous aurez l’impression d’être entouré par des piliers en or et pleins de brillance. Il possède aussi des aires de jeux, des centres de beauté, une pépinière et une connexion internet gratuite. Vous ne risquerez pas de vous ennuyer.

Aéroport international de Carasco en Uruguay

Faisons un tour en Amérique latine avec cet aéroport en forme de grande soucoupe volante. Doté d’une piscine, de salles de loisirs et d’un grand hôtel nommé Lago de Carrasco, l’aéroport détient l’un des plus meilleurs services. Il n’y a rien de mieux qu’un aéroport au bord d’une belle plage.

Aéroport de Changi à Singapour

Cet aéroport est exceptionnel de par son système d’éclairage qui puise la lumière naturelle du soleil du jour et devient très agréable par son éclairage artificiel de nuit. C’est sa toiture formée par des milliers de lucarnes en verre, qui fait sa particularité. Il est équipé d’une piscine, de salles de jeux, de salles de cinéma et de grands magasins que vous ne trouverez nulle part. Le Jewel Changi dispose de la plus grande chute d’eau au monde, un merveilleux jardin et un hôtel de luxe. Ceci rend l’aéroport plus exceptionnel.