Dans ce monde où on a commencé à se pencher sur l’urgence de la protection de l’environnement, on a d’abord dénoncé les effets néfastes des automobiles par leur consommation d’énergie non renouvelables et leur émission de gaz polluant. Mais grâce aux louanges faites des véhicules non motorisés ou semi-motorisés tels que le vélo ou les vélos électriques, qui s’adaptent très bien aux transitions énergétiques, on a commencé à discuter des impacts écologiques des motos et des scooters et on s’est rendu compte qu’ils rejettent environ quinze fois plus de monoxyde de carbone par litre de carburant utilisé que les voitures.
Les constructeurs se sont rendu compte des remarques négatives faites sur les deux roues motorisées. Et vois en la transition énergétique, un point important à réaliser tant pour le secteur commercial que pour la durabilité de leurs activités. Bien qu’ils n’aient pas tous directement pris le chemin des énergies renouvelables, bon nombre d’entre eux ont apporté des innovations dans leurs créations afin de participer à la grande ruée vers le développement durable. Les véhicules électriques ont été les premiers à être créés et l’utilisation de l’électricité est la démarche la plus courante pour rendre les véhicules plus écologiques. Presque accessible partout dans le monde, elle est aussi déjà produite conformément au respect de l’environnement. D’autres modèles fonctionnent grâce à des essences bio obtenues à partir de plantes et d’autres encore envisagent d’utiliser de l’hydrogène. Les deux roues se marient bien avec ces changements énergétiques car ils sont plus légers. Bien que plus chers que les motos et scooters classiques, le prix des modèles écologiques se voit baisser petit à petit. L’existence des points écolos attire aussi énormément d’adeptes. Se déplacer rapidement et encore plus respectueusement de la nature, c’est possible !
Pour une moto électrique d’une puissance inférieure ou égale à 4 000 watts, dans la catégorie des 50 cc, toutes marques, dont celles en vente chez purerider, quelles règles s’appliquent ? Vous devez être titulaire d’un permis AM au minimum, celui qu’on appelle aussi BSR pour Brevet de sécurité routière. L’âge minimum requis est 14 ans et vous devez avoir suivi des cours théoriques. Il s’agit de cours sur la sécurité routière type ASSR 2. Une formation AM est aussi exigée pour rouler en 50 cc. Cependant, si vous avez un permis type B, A, A1 ou A2, vous êtes libre de circuler avec une moto électrique. Il y a une autre condition qui vous autorise à conduire ce type de véhicule. Par ailleurs, vous pouvez trouver sur https://www.trendybelle.fr/les-regles-de-securite-pour-un-passager-a-moto/ les règles de sécurité pour un passager à moto.
Si votre date de naissance est avant le 31 décembre 1987, vous êtes exempté de la formation et du permis. Maintenant, si c’est un deux-roues avec une puissance entre 4 000 et 11 000 watts, quelles sont les règles à respecter ? C’est une moto électrique de la catégorie 125 cc, donc 2 permis sont possibles. Il y a d’abord le permis A1, accessible dès l’âge de 16 ans. Pour l’obtenir, vous devez avoir suivi une formation et réussi un examen théorique et pratique. Puis il y a le permis B mais vous devez l’avoir depuis au minimum 2 ans. Vous êtes également tenu de suivre une formation dédiée d’une durée de 7 h, visant à vous familiariser avec la moto électrique.
Comme tous les véhicules circulant sur les voies publiques en France, une moto électrique doit être immatriculée. Si celle que vous voulez acheter est déjà homologuée, vous aurez le certificat d’homologation lors de l’achat. Une fois que vous avez ce document en main, effectuez les démarches pour demander votre carte grise. Lorsque vous recevez votre numéro d’immatriculation, hâtez-vous de fixer une plaque sur votre moto. Vous devez aussi souscrire une assurance pour votre moto, peu importe sa puissance. Le minima requis est l’assurance au tiers qui vous donne une couverture en cas d’accident responsable. Si vous souhaitez une couverture plus étendue, choisissez l’assurance tous risques.
Pour les autres garanties, voyez avec votre assureur ce dont vous avez besoin. Pour rappel, une assurance moto électrique est largement moins chère que l’assurance moto thermique. Côté sécurité, quelles sont les règles en vigueur ? Les mêmes que pour toutes les autres motos, notamment le port du casque et le port de gants. Avant de rouler, assurez-vous que vos freins fonctionnent bien, de même que vos feux. Est-ce que vous avez un rétroviseur en bon état, au moins un, de préférence celui du gauche ? Vérifiez que vos catadioptres sont bien là et que vos pneus sont en excellent état, autrement remplacez-les ou réparez-les d’abord.
Si vous souhaitez partir en moto pour faire un long trajet, vous devez opter pour un sac léger. En effet, plus la charge supportée par la bécane est importante, plus elle consommera de carburant. Il faut, de ce fait, veiller à ce que le sac que vous emportez soit pratique, permettant de ranger un maximum d’affaires sans alourdir le poids total de la moto. Vous devez également opter pour le confort en évitant un sac encombrant. Quoi de mieux, dans ce cas, qu’une sacoche de réservoir ? Elle est installée devant le motard et est souvent de petite taille. Il propose un rangement intelligent de vos affaires. De plus, vous pouvez atteindre facilement le sac même en conduisant.
Un sac pour moto doit également être choisi en fonction de la qualité de sa matière. Si vous voulez un sac intérieur de valises pour moto, il faut que ce dernier soit conçu dans une matière aussi solide que la valise où elle sera intégrée. En tissu, en cuir, le sac doit être imperméable et supporter les abrasions. Si vous avez une moto BMW, retrouvez ici des sacs intérieurs de valises pour moto BMW.
Vous avez également les sacs pour moto conçus dans une coque rigide. Ces derniers sont idéals si vous transportez des objets fragiles. Ce sera d’autant plus approprié si vous optez pour un sac rigide d’intérieur de valise afin d’optimiser la protection de vos affaires lorsque vous roulez à moto.
Avoir une veste de motard pour chaque saison est l’idéal. Chaque blouson doit avoir des qualités protectrices. Sachez que la veste de motard fait aujourd’hui l’objet d’une homologation et se doit de respecter la norme EN 13 595. Quel que soit le type de blouson que vous choisirez, qu’il soit en cuir ou en matière textile, vérifiez qu’il a été conçu dans le respect de cette norme de sécurité.
La résistance à l’abrasion de la veste est l’un des critères sur lesquels vous devez baser aussi votre choix. Vérifiez également que la veste qui vous plait dispose de protections adéquates sur les épaules et les coudes. Ces coques, qu’elles soient souples ou dures, doivent respecter les normes de sécurité de 1621-1 et doivent disposer d’une homologation CE. Pour plus de sécurité, il est conseillé d’opter pour des protections respectant la norme 1621-1 de niveau 2. La majorité des blousons de motard sont aussi équipés d’une protection dorsale. Une protection répondant à la norme EN 1621-2 niveau 2 est à privilégier. Enfin, une veste disposant d’une doublure thermique amovible vous permettra de jouir de plus de confort en hiver comme en été. Un vêtement à la fois étanche et fait en matière respirante vous garantit plus de confort.
Bon nombre de motards négligent la nécessité de porter des chaussures adaptées à la conduite de moto. Or, en cas de chute ou d’accident, les pieds font partie des éléments qui risquent d’être les plus gravement touchés. Si vous ne voulez pas utiliser une canne pour tenir debout le restant de vos jours, faites le choix de porter des chaussures adaptées lorsque vous conduisez votre engin sur route. Les bottes pour motard que vous pouvez trouver chez Cardy.fr sont conçues pour protéger les parties inférieures de vos jambes. Elles offrent une meilleure protection à vos os, vos tendons, vos chevilles et vos talons. Pour plus de confort, opter pour des bottes faites en matières respirantes est recommandé. Si vous avez une certaine aversion au port de bottes, vous avez le choix entre différents modèles de chaussures spécialement conçues pour les motards. Celles-ci peuvent facilement se porter toute la journée : elles ne vous gêneront pas dans vos mouvements. Si vous conduisez en milieu urbain, les modèles étanches, munis de semelles antidérapantes sont à privilégier. Si vous conduisez sur l’autoroute, les bottes disposant de renforcements à la hauteur des chevilles, du coup de pied et des talons sont meilleures. Une paire de chaussures entièrement étanche est également indispensable. Prenez le temps de vérifier le système de fermeture présent sur la chaussure. Vous avez le choix entre des modèles adoptant des systèmes de velcros, de boucles, etc. Choisissez toutefois un modèle en fonction de l’usage que vous en ferez ainsi que de la fréquence de son utilisation.
]]>Pour avoir une chance de percer dans ce métier, il faut commencer très tôt. Il existe quelques centres permettant aux jeunes de 13 et 16 ans de suivre des formations en vue de devenir des professionnels de la course moto. Pour intégrer l’une de ces formations, il faut soit se faire remarquer par les responsables soit déposer ses dossiers auprès d’un centre. Les dossiers nécessaires sont souvent les bulletins scolaires ou les dossiers scolaires. Parmi les centres les plus prometteurs, il y a celui de Bourges dirigé par Donald Adams, un ex-champion de motocross. Il y a ensuite le pôle d’Ales, animé par Jean-Jacques Bruno et Oliver Robert. Les jeunes pilotes qui suivent ces formations ont plus de chance de se faire recruter par les constructeurs et auront moins de difficulté à intégrer le milieu professionnel.
Même avec la passion, il est difficile d’atteindre un niveau professionnel. Seuls quelques surdoués peuvent percer dans ce métier. En effet, il faut pouvoir consacrer beaucoup de temps aux entrainements afin d’atteindre un niveau compétitif. Les personnes qui ne sont pas issues d’une formation de pilote sont celles qui rencontrent le plus de difficultés, car elles devront se financer elles-mêmes. Si l’achat d’une moto de compétition constitue déjà un lourd investissement, ces pilotes indépendants devront également prendre en charge eux-mêmes les carburants qu’ils consommeront durant les entrainements, mais aussi les vêtements adaptés et autres accessoires. N’étant pas issus d’un centre de formation, ils auront plus de mal à faire valoir leurs compétences. Par ailleurs, gagner l’appui d’un sponsor leur sera plus difficile. Mener une compétition jusqu’à son terme exige pourtant de disposer de moyens de financement importants. Le principal frein à l’accès au niveau professionnel est donc le financement. Franchir cet obstacle nécessitera des efforts considérables.
]]>Les problèmes qui peuvent survenir sont rares pour les batteries qui n’ont pas besoin d’entretien. En effet, l’entretien se résume à charger correctement la batterie selon les recommandations de son constructeur afin de rallonger sa durée de vie. Cependant, trois types de problèmes en rapport avec la charge peuvent survenir. En premier lieu, il y a le phénomène de sulfatation qui se présente sous forme d’accumulation de cristaux sur les plaques. La stratification quant à elle, est un phénomène qui engendre la création de couches distinctes pour l’eau et l’acide contenu dans la batterie. À noter que ce phénomène touche principalement les batteries au Calcium. En dernier lieu, vous avez la dessiccation. Cette dernière se produit lorsque vous chargez la batterie avec une tension supérieure à la sienne. Elle se surcharge et l’eau qu’elle contient s’évapore, ce qui va finir par rompre son équilibre chimique.
Vous devrez en premier lieu démonter votre batterie. Comme chaque moto peut posséder une constitution différente, vous devrez vous référer à votre manuel pour repérer la batterie et la démonter. Une fois démontée, commencez par le nettoyage des bornes. Enlevez les éventuelles rouilles avec une brosse métallique afin d’assurer un meilleur contact. Pour les batteries non scellées, dévissez le bouchon afin de réguler le niveau de liquide de la batterie. Pour ce faire, ajouter de l’eau distillée si ce niveau est trop bas. Ensuite, effectuez un nettoyage et une recharge de la batterie à l’aide de votre chargeur. Si après cet entretien la batterie ne tient pas sa charge, il faudra la remplacer.
]]>Il est important d’orienter votre choix en fonction de votre façon de conduire et suivant la manière dont vous utilisez votre véhicule. Le type d’huile à utiliser diffère selon que vous l’utilisiez sur une moto de course ou sur un engin avec lequel vous effectuez de longs trajets. De la même manière, vous devrez opter pour un lubrifiant spécifique si vous utilisez votre moto pour effectuer des déplacements en ville. Par ailleurs, les régions ainsi que les conditions climatiques influent également sur la qualité de l’huile à utiliser.
Une huile de moto doit être renouvelée à intervalle régulier. Une vidange tous les 6 000 km est recommandée par la majorité des constructeurs. Cette durée peut cependant varier en fonction de l’utilisation de votre moto. Pour un usage fréquent en milieu urbain, vous devrez procéder à une vidange encore plus régulière. Il faut savoir que les courts trajets ne laissent pas suffisamment de temps à l’huile pour se fluidifier.
Contrairement au moteur à 2 temps, le moteur à 4 temps requiert un entretien spécifique et régulier. De la même manière que pour une huile de moteur pour voiture, celle utilisée sur une moto à 4 temps est versée directement dans le moteur. C’est pour cette raison qu’il est impératif de la vidanger régulièrement. Par ailleurs, le choix de l’huile à utiliser pour ce type de moto peut varier en fonction de certains critères. Vous pouvez par exemple porter votre choix sur une huile pour moto en fonction de la matière qui la compose (minérale, synthétique ou semi-synthétique). Il est également possible de vous référer à son grade, c’est-à-dire, à chaud ou à froid.
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